• 297
    observations

  • 60
    communes

  • 65
    observateurs

  • Première observation
    1976

  • Dernière observation
    2024

Avertissement : Les cartes et graphiques présentés ne correspondent qu'à l'état actuel des connaissances et ne peuvent être considérés comme exhaustifs. Le projet d'atlas dynamique est une retranscription en temps réel des contributions de chacun sur la base de données et toute nouvelle donnée est à ce titre intéressante, même pour les espèces les plus communes.

Akram Romane - Amiard Pamela - Berger Luc - Bertho Fabian - Bogaczyk Jonas - Bottinelli Julien - Bourgeais Lucille - Branger Fabien - Brisson Aurélie - Burguet Benjamin - Bussac Augustin - Cailliere Christine - Carrara Danaé - Carrere Baptiste - Channellière Tancrède - Chevreau David - Claivaz Lucien - Collignon Amélie - Cousin Richard - Crapet Quentin - Dargent Florian - De Massary Jean-christophe - De Oliveira Stephane Eduardo - Dehalleux Axel - Dhinzelin Marcel - Domingues-haccart Léo - Détrée Jérémy - Fernez Thierry - Fougère Benjamin - Fouqueray Christian - Fradet Noam - Gadoum Serge - Ganna Rémy - Haffner Patrick - Henry Guillaume - Humbert Merlin - Inconnu Inconnu - Kort Émir - Kuentz Gwendal - Kuentz Gwendal - Labbaye Olivier - Ladislas Maëlle - Limagne Vincent - Mainguy Gaell - Mallet Bernard - Melin Marie - Mulot Patrick - Paillol Quentin - Poiré Pierrick - Quilliec Nolwenn - Raveau Johann - Rivallin Pierre - Rouard Julien - Rouillere Aloïs - Royer Léo - Sarouille Romain - Stordeur Flora - Szczesny Johann - Tanguy Vincent - Van Den Brink Anouk - Vanhille François - Verbeke Nicolas - Vignon Vincent - Wroza Stanislas - Zeitouni Kevin

Informations sur l'espèce

Commentaires sur l'espèce

La Vipère péliade est une espèce nord-eurasiatique avec une répartition hétérogène au sein du territoire national. En Île-de-France, elle reste localisée au niveau des massifs forestiers humides (Rambouillet, Sénart, Notre-Dame), riches en mares et landes humides.

Statut de conservation

La Vipère péliade parait réellement menacée au sein de notre région, en particulier au sein des massifs forestiers péri-urbains (Notre-Dame, Sénart). Une des causes pourrait être la diminution de la surface des landes humides.

La Vipère péliade est une espèce vivipare qui affectionne plutôt les milieux frais, voire humides. On la rencontre en effet au sein des landes humides, tourbières et milieux bocagers. Cette vipère est observable à partir de la mi-mars dans notre région. Les adultes se nourrissent principalement de micro-mammifères tandis que les Lézards vivipares constituent la majorité des proies des juvéniles (qui changeront progressivement de régime alimentaire).

Répartition actuelle en France métropolitaine

Source : INPN

Les cartes de répartition nationales ne correspondent qu’à l’état actuel des connaissances et ne peuvent être considérées comme exhaustives.

Coluber berus Linnaeus, 1758 | Pelias dorsalis Gray, 1842 | Vipera berus bosniensis Boettger, 1889 | Vipera communis Leach, 1817 | Vipera torva Lenz, 1832 | Vipera trigonocephala Daudin, 1803

Observations mensuelles