Avertissement : Les cartes et graphiques présentés ne correspondent qu'à l'état actuel des connaissances et ne peuvent être considérés comme exhaustifs. Le projet d'atlas dynamique est une retranscription en temps réel des contributions de chacun sur la base de données et toute nouvelle donnée est à ce titre intéressante, même pour les espèces les plus communes.
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La parade du mâle mêle mouvements divers et chant, suite à quoi il est trainé au sol par la femelle lors de l'accouplement. On reconnait facilement les mâles à leurs antennes coudées, mais ce critère est moins net chez les femelles. La confusion est cependant possible avec Omocestus petraeus et O. haemorrhoidalis.
Du fait de ses exigences écologiques M. maculatus, espèce "spécialiste" liée aux habitats xérothermophiles, demeure assez-rare en Île-de-France, bien qu’il puisse être relativement abondant lorsque les conditions lui sont idéales (pelouses sablonneuses des terrasses alluviales). On trouve les adultes de fin mai à novembre, les mâles ayant un chant précose bien reconnaissable. Attention, cependant à la confusion avec le chant de Gomphocerippus mollis qui fréquente sensiblement les mêmes habitats.
Les cartes de répartition nationales ne correspondent qu’à l’état actuel des connaissances et ne peuvent être considérées comme exhaustives.