Cerf sika

Cervus nippon Temminck, 1838

Classe : Mammalia Ordre : Cetartiodactyla Famille : Cervidae Genre : Cervus

  • 83
    observations

  • 23
    communes

  • 11
    observateurs

  • Première observation
    1978

  • Dernière observation
    2024

Avertissement : Les cartes et graphiques présentés ne correspondent qu'à l'état actuel des connaissances et ne peuvent être considérés comme exhaustifs. Le projet d'atlas dynamique est une retranscription en temps réel des contributions de chacun sur la base de données et toute nouvelle donnée est à ce titre intéressante, même pour les espèces les plus communes.

Association Renard - Aurissergues Thierry - Chevallier Laurent - Ducourneau Philippe - Inconnu Inconnu - Kort Émir - Larbouillat Annick - Letourneau Christian - Piketty Bruno - Roy Philippe - Vindras Laurent

Informations sur l'espèce

Commentaires sur l'espèce

Originaire de Sibérie et d’Asie orientale, le Cerf sika a été introduit en Europe, et notamment en France, à des fins ornementales et cynégétiques à la fin du XIXème siècle.

Comme le Cerf élaphe (Cervus elaphus), le Cerf sika présente un pic d'activité à l'aube et au crépuscule, et le mâle porte des bois caducs, qu'il perd vers le mois d'avril. Le rut a lieu à l'automne, période à laquelle le mâle émet des vocalisations aigües, des sifflements voire des hurlements. L'unique faon naît entre mai et juin, et accompagne sa mère au moins jusqu'à l'hiver. L'espèce présente un régime alimentaire proche de celui de la majorité des Cervidés, à base de plantes herbacées, de glands, de fruits et de bourgeons.

Répartition en îdF

En Île-de-France, le Cerf sika est actuellement signalé à Rambouillet, et dans le nord-ouest de la Seine-et-Marne. La ménagerie du Muséum national d'Histoire naturelle de Paris aurait reçu au XIXème siècle des individus de Mandchourie, du Japon et du Tonkin qui seraient à l'origine de la population close du parc présidentiel de Rambouillet, près de Marly : celle-ci aurait atteint un effectif de 200 individus vers 1965, et serait à l'origine de l'ensemble des populations introduites dans le milieu naturel en France.

Outre les dégâts par écorçage aux forêts de conifères, le Cerf sika est susceptible de s'hybrider avec le Cerf élaphe (Cervus elaphus) et trois populations sauvages des îles britanniques pour le moins seraient actuellement constituées exclusivement d'hybrides. L'impact du Cerf sika sur ses écosystèmes d'accueil français n'est pas spécifiquement documenté.

Non renseigné pour le moment

Répartition actuelle en France métropolitaine

Source : INPN

Les cartes de répartition nationales ne correspondent qu’à l’état actuel des connaissances et ne peuvent être considérées comme exhaustives.

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Observations mensuelles