Avertissement : Les cartes et graphiques présentés ne correspondent qu'à l'état actuel des connaissances et ne peuvent être considérés comme exhaustifs. Le projet d'atlas dynamique est une retranscription en temps réel des contributions de chacun sur la base de données et toute nouvelle donnée est à ce titre intéressante, même pour les espèces les plus communes.
Champagne-sur-Seine - Crespières - Gironville-sur-Essonne - Haute-Isle - Jouy-le-Moutier - Saint-Sulpice-de-Favières - Vétheuil
Les chenilles sont grégaires aux premiers stades, regroupées dans un nid soyeux. Lorsqu'elles s'en écartent, elles tissent un fil de soie (fil d'Ariane) afin de savoir y revenir.
(Pour d'autres informations sur l'écologie et la biologie de l'espèce, consultez notamment le livre La Vie des Papillons - Lafranchis et al., 2015)
Identification nécessitant un examen attentif : confusion possible avec d'autres espèces.
La discrimination avec les autres Melitaea et Euphydryas se fera essentiellement via l’examen attentif des motifs présents sur le revers des ailes postérieures. Chez M. phoebe, on notera l'absence d'une série de points noirs, à la fois sur le revers et l'avers des ailes postérieures dans la bande submarginale fauve (par rapport à M. cinxia) et sur le revers des ailes postérieures (non blanchâtre, absence de 2 bandes rouge orangé unies, par rapport à M. didyma). Sur le revers des ailes postérieures, la bande fauve anté-terminale comporte, centrés, une rangée de gros points orange vif.
Selon les individus, la détermination sera parfois délicate au sein du complexe (francilien) Melitaea cinxia/phoebe/didyma. De ce fait, il faudra parfois avoir recours à l’examen des pièces génitales.
(Voir par exemple le guide de détermination des papillons diurnes - Lafranchis, 2014)
En Île-de-France, les principaux milieux de vie de l'espèce sont :
(Nomenclature issue du Guide des végétations remarquables de la région Île-de-France - Fernez et al., 2015)
Elle utilise comme plante-hôte : Centaurées, Cirses, Bardanes, Plantain.
Les cartes de répartition nationales ne correspondent qu’à l’état actuel des connaissances et ne peuvent être considérées comme exhaustives.