Clyte poilu
Chlorophorus glabromaculatus (Goeze, 1777)
- 31 observations
-
21
communes -
22
observateurs -
Première observation
2002 -
Dernière observation
2025
Bouville - Chaumontel - Corbeil-Essonnes - Épône - Gaillon-sur-Montcient - Linas - Montesson - Montlhéry - Morigny-Champigny - Nandy - Nemours - Neuilly-Plaisance - Paris 6e - Pomponne - Richarville - Ris-Orangis - Saint-Rémy-l'Honoré - Sucy-en-Brie - Vaux-le-Pénil - Villecresnes - Viry-Châtillon
-
Opie (Office pour les insectes et leur environnement)
Participation à 7 Observations
Part d'aide à la prospection : 22.58 %
Fiche organisme
-
Pôle National d’Entomologie Forestière (PNEF - ONF et Opie)
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 6.45 %
Fiche organisme
-
PNR Haute Vallée de Chevreuse
Participation à 1 Observations
Part d'aide à la prospection : 3.23 %
Fiche organisme
-
ANCA (Les Amis Naturalistes des Coteaux d'Avron)
Participation à 1 Observations
Part d'aide à la prospection : 3.23 %
Fiche organisme
-
SIARCE (Syndicat Intercommunal d'Aménagement, de Rivières et du Cycle de l'Eau)
Participation à 1 Observations
Part d'aide à la prospection : 3.23 %
Fiche organisme
-
Office français de la biodiversité (anciennement AFB)
Participation à 1 Observations
Part d'aide à la prospection : 3.23 %
Fiche organisme
-
Syndicat de l'Orge, de la Rémarde et de la Prédecelle (SYORP)
Participation à 1 Observations
Part d'aide à la prospection : 3.23 %
Fiche organisme
-
DRIEAT Île-de-France (anciennement DRIEE)
Participation à 1 Observations
Part d'aide à la prospection : 3.23 %
Fiche organisme
Informations espèce
Commentaires sur l'espèce
Taille : 8 – 15 mm.
Diagnose : Clyte au pronotum et élytres recouverts d'une pubescence jaune uniforme laissant voir le tégument noir. Les élytres sont ornés de 3 taches circulaires noires alignées longitudinalement, ainsi que d'un point noir huméral plus petit. Les pattes sont noires.
Détermination (1) : Simple.
Espèces proches : Chlorophorus glaucus dont la femelle est gris bleutée et le mâle à pubescence jaune plus longue. Cette dernière espèce est localisée dans le sud-est de la France.
Ressources pour l'identification : (7),(3)
Ciblage des prospections
Où rechercher l'espèce en priorité en îdF (localisation) : Espèce à rechercher dans la basse vallée de la Seine, au nord de l’Essonne, dans le val de Marne, ponctuellement ailleurs.
Quelles méthodes utiliser : Prospection à vue des écorce et des fleurs, battage des branches, filet à papillon et filet fauchoir. Les individus en loge sont détectables à partir d'octobre en coupant du bois.
Période d'observation : L'adulte se rencontre de mai à août.
Biologie-éthologie : La larve est polyphage et se développe dans les branches mortes et sèches de divers feuillus : chêne, châtaignier, robinier, mimosa, vigne, tilleul, érable, orme, aulne, peuplier, saule, prunier, poirier, figuier, noyer… L'adulte est diurne et floricole, attiré par les substances fermentées.
Écologie : Son habitat est constitué de forêts de feuillus, de parcs et bocages.
Biogéographie : Espèce répandue en Europe occidentale méridionale jusqu'en Croatie et Afrique du nord. En France, elle est présente presque partout, sauf en altitude.