Avertissement : Les cartes et graphiques présentés ne correspondent qu'à l'état actuel des connaissances et ne peuvent être considérés comme exhaustifs. Le projet d'atlas dynamique est une retranscription en temps réel des contributions de chacun sur la base de données et toute nouvelle donnée est à ce titre intéressante, même pour les espèces les plus communes.
L'espèce n'a pas été revue dans la région depuis 1867. En 1978, la synthèse réalisée par Roland Essayan la considérait déjà comme disparue de la région.
La parade nuptiale comprend une période où le mâle place le pli du bord (la costa) de ses ailes antérieures, soit la partie diffusant les phéromones, contre l'extrémité des antennes de la femelle. Cettre extrémité réceptrice va ainsi capter le message concourant à la stimulation à l'accouplement.
(Pour d'autres informations sur l'écologie et la biologie de l'espèce, consultez notamment le livre La Vie des Papillons - Lafranchis et al., 2015)
Identification nécessitant un examen attentif : confusion possible avec d'autres espèces.
Détermination via l'observation des motifs présents sur l'avers des ailes antérieures et discrimination avec C. alceae via l'observation de taches blanches présentes sur l'avers des ailes postérieures. Le revers des postérieures présente des taches blanches submarginales étirées parallèlement aux nervures.
(Voir par exemple le guide de détermination des papillons diurnes - Lafranchis, 2014)
En Île-de-France, les principaux milieux de vie de l'espèce sont :
(Nomenclature issue du Guide des végétations remarquables de la région Île-de-France - Fernez et al., 2015)
Elle utilise comme plante-hôte : Marrube, Epiaires (Stachys spp.).
Les cartes de répartition nationales ne correspondent qu’à l’état actuel des connaissances et ne peuvent être considérées comme exhaustives.