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Necydalis major Linnaeus, 1758

Classe : Insecta Ordre : Coleoptera Famille : Cerambycidae Sous-Famille : Necydalinae Tribu : Necydalini Genre : Necydalis
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  • 4
    observations

  • 4
    communes

  • 5
    observateurs

  • Première observation
    2000

  • Dernière observation
    2021
Ferriot Lucile - Gouirand Mathieu - Mari Alexandre - Mériguet Bruno - Zagatti Pierre
  • Opie (Office pour les insectes et leur environnement)
    Participation à 1 Observations
    Part d'aide à la prospection : 25.00 %

    Fiche organisme

  • PNR Haute Vallée de Chevreuse
    Participation à 1 Observations
    Part d'aide à la prospection : 25.00 %

    Fiche organisme

Informations espèce

Commentaires sur l'espèce

Taille : 19 – 32 mm.
Diagnose : Grand longicorne à élytres courts, ressemblant à un grand hyménoptère. Tête, pronotum et abdomen noir ; pattes longues fines et robustes, antennes et élytres roux. Les élytres très courts sont rebordés à l'apex et laissent à découvert les ailes et une partie de l'abdomen très allongé. Les ailes rousses déployées lui donnent l'aspect d'un grand Hyménoptères (Ichneumons).
Détermination (1) : Délicate.
Espèces proches : Necydalis ulmi Chevrolat, 1838 dont N. major se distingue par les côtés de son pronotum recouvert d'une pubescence claire peu serrée ne remontant pas sur la face dorsale et ses tibias postérieurs uniformément jaunes alors qu’ils sont assombris à l'apex chez N. ulmi.
Ressources pour l'identification : (7),(3),(5)

 

Ciblage des prospections

Où rechercher l'espèce en priorité en îdF (localisation) : Espèce signalée historiquement de la petite couronne et de Fontainebleau, a priori présent essentiellement en forêt de Rambouillet où elle est à rechercher y compris dans les secteurs limitrophes.
Quelles méthodes utiliser : A vue sur les troncs et les branches (ressemble a un hyménoptère ou à un très grand tipule, beaucoup s’y sont fait prendre), battage, piège d’interception.

  • (1) : Touroult J., Cima Valentina., Bouyon H., Hanot C., Horellou A. & Brustel H., 2019. – Longicornes de France – Atlas préliminaire.
  • (2) : MNHN & OFB [Ed]. 2003-2025. Inventaire national du patrimoine naturel (INPN), Site web : https://inpn.mnhn.fr Le 18 juillet 2025
  • (3) : Berger P., 2012 Coléoptères Cerambycidae de la faune de France continentale et de Corse - Actualisation de l'ouvrage d'André Villiers, 1978. Revue de l'Association Roussillonnaise d'Entomologie, supplément tome XXI, 664 p.
  • (5) : Mériguet B. & Zagatti P., 2016 - Coléoptères du Bassin parisien - Guide d’identification de terrain. Delachaux et Niestlé Editeurs - Paris 288p.
  • (7) : MÉRIGUET B.& Speckens V. 2024 – Longicornes d’Île-de-France – Aide à l’identification. V1.43 – version juin 2025, Opie, 60 pages.

Période d'observation : L'adulte est actif en juin-juillet.

Biologie-éthologie : La larve se développe dans le cœur humide des grosses branches ou troncs morts debout ou au sol, des chênes, charmes, tilleul, saule, peupliers, trembles, aulnes, bouleaux, frênes, marronniers, érables, pommiers. Le cycle s'effectue sur un à deux ans. L'adulte est diurne, rarement floricole, souvent en canopée et attiré par les substances fermentées.

Écologie : Son habitat est constitué de forêts de feuillues fraiches.

Biogéographie : Espèce eurasiatique largement distribuée, plutôt septentrionale. En France, la distribution de cette très rare espèce est très discontinue.

Non renseigné pour le moment
Molorchus major (Linnaeus, 1758) |

Observations mensuelles