Glaphyra umbellatarum (Schreber, 1759)
- 31 observations
-
21
communes -
20
observateurs -
Première observation
1997 -
Dernière observation
2025
Aulnay-sous-Bois - Boissettes - Champs-sur-Marne - Chelles - Clichy-sous-Bois - Cormeilles-en-Parisis - Courson-Monteloup - Gambaiseuil - Gravon - Jablines - Le Vaudoué - Linas - Livry-sur-Seine - Louan-Villegruis-Fontaine - Moret-Loing-et-Orvanne - Noiseau - Noyen-sur-Seine - Parmain - Saint-Rémy-lès-Chevreuse - Sannois - Us
-
Opie (Office pour les insectes et leur environnement)
Participation à 14 Observations
Part d'aide à la prospection : 45.16 %
Fiche organisme
-
ANCA (Les Amis Naturalistes des Coteaux d'Avron)
Participation à 3 Observations
Part d'aide à la prospection : 9.68 %
Fiche organisme
-
Ville du Vaudoué
Participation à 1 Observations
Part d'aide à la prospection : 3.23 %
Fiche organisme
-
PNR Haute Vallée de Chevreuse
Participation à 1 Observations
Part d'aide à la prospection : 3.23 %
Fiche organisme
-
ANVL (Association des Naturalistes de la Vallée du Loing et du massif de Fontainebleau)
Participation à 1 Observations
Part d'aide à la prospection : 3.23 %
Fiche organisme
Informations espèce
Commentaires sur l'espèce
Taille : 5 – 8,5 mm.
Diagnose : Petit longicorne à élytres courts. Tête et pronotum brun sombre, le reste du corps est brun châtain, avec une zone plus claire sur la zone suturale antérieure des élytres. Le pronotum est plus long que large avec une protubérance émoussée de chaque côté, et trois reliefs plus ou moins net. Les élytres courts (environ deux fois et demie aussi longs que larges), sont fortement et densément ponctués, anguleux et saillants au niveau des épaules. De longues soies dressées couvre tout le corps, plus abondantes sur les antennes et surtout sur les pattes.
Détermination (1) : Délicate.
Espèces proches : Confusion possible avec Molorchus minor (Linnaeus, 1758) dont G. umbellatarum se distingue par l'absence de bande blanche sur les élytres. Très proche de Glaphyra marmottani, espèce méditerranéenne, dont G. umbellatarum se distingue par ses élytres plus longs que le pronotum.
Ressources pour l'identification : (7),(3)
Ciblage des prospections
Où rechercher l'espèce en priorité en îdF (localisation) : Espèce présente partout en Île-de-France, elle semble être moins présente dans les grandes zones agricoles, en Brie et en Beauce.
Quelles méthodes utiliser : Battage des branches et branchettes, filet à papillon et filet fauchoir sur les fleurs, cage d’émergence.
Période d'observation : L'adulte diurne est actif de fin avril à mi-juillet.
Biologie-éthologie : Les larves, se développent principalement sur les Rosacées (pommier, prunier, aubépine, rosier, ronce, amélanchier...) mais également citée d'autres familles (cornouiller, viorne, bourdaine, châtaignier). L'adulte est floricole, discret car sciaphile. Le cycle biologique dure deux ans.
| Eacute;cologie : Son habitat naturel est constitué de bois feuillus, lisières fleuries, vergers et bocages.
Biogéographie : Espèce de l'ouest de l'Europe répandue jusqu'au Proche-Orient. En France, elle est présente sur tout le territoire, absente en Corse.