Lamie écorce de peuplier
Aegomorphus clavipes (Schrank, 1781)
- 60 observations
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18
communes -
29
observateurs -
Première observation
1901 -
Dernière observation
2025
Arbonne-la-Forêt - Barbey - Châtenay-sur-Seine - Chevilly-Larue - Fontainebleau - La Chapelle-Gauthier - Larchant - Le Vaudoué - Melz-sur-Seine - Meudon - Milly-la-Forêt - Misy-sur-Yonne - Nanteau-sur-Essonne - Nemours - Noyen-sur-Seine - Saint-Fargeau-Ponthierry - Samoreau - Villabé
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Opie (Office pour les insectes et leur environnement)
Participation à 50 Observations
Part d'aide à la prospection : 83.33 %
Fiche organisme
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DRIEAT Île-de-France (anciennement DRIEE)
Participation à 1 Observations
Part d'aide à la prospection : 1.67 %
Fiche organisme
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ANVL (Association des Naturalistes de la Vallée du Loing et du massif de Fontainebleau)
Participation à 1 Observations
Part d'aide à la prospection : 1.67 %
Fiche organisme
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SIARCE (Syndicat Intercommunal d'Aménagement, de Rivières et du Cycle de l'Eau)
Participation à 1 Observations
Part d'aide à la prospection : 1.67 %
Fiche organisme
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Communauté d'Agglomération Melun Val de Seine (CAMVS)
Participation à 1 Observations
Part d'aide à la prospection : 1.67 %
Fiche organisme
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PNR du Gâtinais Français
Participation à 1 Observations
Part d'aide à la prospection : 1.67 %
Fiche organisme
Informations espèce
Commentaires sur l'espèce
Taille : 7 -17 mm (2).
Diagnose : Petit longicorne trapu, à pattes robustes, à élytres larges, noir recouvert d'un épais duvet blanc, gris blanchâtre, brun et roussâtre. Ses antennes sont noires annelées de blanc, sauf le scape noir. Le pronotum est caréné longitudinalement, à ponctuation forte mais peu serrée. Les élytres sont ornés de 3 bandes transversales irrégulières brun foncé et de deux bosses bien marquées à la base.
Détermination (1) : Délicate.
Espèces proches : Confusion possible avec Aegomorphus francottei Sama, 1994 dont A. clavipes se distingue par des reliefs élytraux antérieurs saillants et granuleux et une absence de tache humérale , tache éventuellement diffuse. Aegomorphus francottei a été signalé par erreur d’Île-de-France.
Ressources pour l'identification : (7),(3),(5)
Ciblage des prospections
Où rechercher l'espèce en priorité en îdF (localisation) : Espèce signalée principalement du sud de la Seine et Marne, le long de la vallée de la Seine et de l’Yonne, à rechercher partout.
Quelles méthodes utiliser : Battage des branches mortes, écorçage.
Période d'observation : Les adultes sont actifs de fin mai à septembre (2).
Biologie-éthologie : La larve se développe sous l'écorce de grosses branches et troncs morts de divers feuillus : peuplier, bouleau, noyer, hêtre essentiellement mais aussi sur aulne, saule, érable, noisetier, tilleul, chêne, prunier, poirier... Les adultes sont diurnes mais discrets et mimétiques sur les écorces des branches mortes. Le cycle biologique s'effectue sur deux ans (2).
Écologie : Elle fréquente les zones de forêts feuillues à bois tendre, en particulier les ripisylves et vergers (2).
Biogéographie : Espèce commune répandue de l'Europe de l'Ouest et d'Afrique du Nord jusqu'au Japon. Présente en France sur la quasi-totalité du territoire (rare ou absente dans le nord), Corse comprise (2).