Stenostola dubia (Laicharting, 1784)

Classe : Insecta Ordre : Coleoptera Famille : Cerambycidae Sous-Famille : Lamiinae Tribu : Saperdini Genre : Stenostola
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  • 21
    observations

  • 8
    communes

  • 9
    observateurs

  • Première observation
    2002

  • Dernière observation
    2025
Acorep-sef - Bottinelli Julien - Branger Fabien - Channellière Tancrède - Claivaz Lucien - Dehalleux Axel - Manevy Robin - Mériguet Bruno - Zagatti Pierre
  • Opie (Office pour les insectes et leur environnement)
    Participation à 16 Observations
    Part d'aide à la prospection : 76.19 %

    Fiche organisme

  • AGRENABA - RNN de la Bassée
    Participation à 1 Observations
    Part d'aide à la prospection : 4.76 %

    Fiche organisme

  • ANCA (Les Amis Naturalistes des Coteaux d'Avron)
    Participation à 1 Observations
    Part d'aide à la prospection : 4.76 %

    Fiche organisme

Informations espèce

Commentaires sur l'espèce

Taille : 9 – 14 mm.
Diagnose : Capricorne aux élytres noir ardoisé, plus ou moins bleuâtre ou verdâtre, à reflets métalliques nets présentant une pubescence clairsemée, couchée, grisâtre, parfois roussâtre. Le pronotum gris ardoisé est nettement transverse, le scutellum couvert d'une pubescence blanche dense. De longues soies dressées sont présentent sur tout le corps.
Détermination (1) : Pour expert.
Espèces proches : Stenostola ferrea dont S. dubia se distingue par ses élytres à net reflet métallique bleu ardoisé et ses paramères à extrémité pointue, réunis à la base en forme de U. A priori S. ferrea n’est pas présente en îdF. De nombreuses données erronées circulent suite à des inversions de figure dans les ouvrages anciennes.
Ressources pour l'identification : (7),(3)

 

Ciblage des prospections

Où rechercher l'espèce en priorité en îdF (localisation) : Espèce à répartition fragmentée dans la région, connues des principaux massifs (Rambouillet, Fontainebleau, Ferrière en Brie,…). À rechercher dans tous les boisement de tilleuls un peu anciens et peut être dans les secteurs urbanisés.
Quelles méthodes utiliser : A vue, battage des branches, filet à papillon et filet fauchoir sur les tiges, feuilles et fleurs de tilleul.

  • (1) : Touroult J., Cima Valentina., Bouyon H., Hanot C., Horellou A. & Brustel H., 2019. – Longicornes de France – Atlas préliminaire.
  • (2) : MNHN & OFB [Ed]. 2003-2025. Inventaire national du patrimoine naturel (INPN), Site web : https://inpn.mnhn.fr Le 18 juillet 2025
  • (3) : Berger P., 2012 Coléoptères Cerambycidae de la faune de France continentale et de Corse - Actualisation de l'ouvrage d'André Villiers, 1978. Revue de l'Association Roussillonnaise d'Entomologie, supplément tome XXI, 664 p.
  • (5) : Mériguet B. & Zagatti P., 2016 - Coléoptères du Bassin parisien - Guide d’identification de terrain. Delachaux et Niestlé Editeurs - Paris 288p.
  • (7) : MÉRIGUET B.& Speckens V. 2024 – Longicornes d’Île-de-France – Aide à l’identification. V1.43 – version juin 2025, Opie, 60 pages.

Période d'observation : L'adulte est actif d'avril à juillet.

Biologie-éthologie : Les larves se développent dans branches mortes tombées au sol de différentes essences feuillues, essentiellement tilleul, noisetier et bouleau. L'adulte, diurne, se rencontre posé sur les tiges ou les feuilles des plantes hôtes, et est parfois floricole.

| Eacute;cologie : Son habitat est constitué de boisements frais de plaine et moyenne montagne.

Biogéographie : Espèce d'Europe centrale. En France, elle est présente dans une large moitié est du territoire, et dans la chaine pyrénéenne. 

Non renseigné pour le moment
Saperda dubia Laicharting, 1784 |

Observations mensuelles