Gracilia minuta (Fabricius, 1781)

Classe : Insecta Ordre : Coleoptera Famille : Cerambycidae Sous-Famille : Cerambycinae Tribu : Graciliini Genre : Gracilia
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  • 1
    observation

  • 1
    commune

  • 1
    observateur

  • Première observation
    2009

  • Dernière observation
    2009
Laine Alexandre
  • Opie (Office pour les insectes et leur environnement)
    Participation à 1 Observations
    Part d'aide à la prospection : 100.00 %

    Fiche organisme

Informations espèce

Commentaires sur l'espèce

Taille : 2.5 – 7 mm.
Diagnose : Petit longicorne grêle d'aspect brun-rougeâtre mat, à pattes et antennes un peu plus claires, le corps couvert d'une très fine pubescence argentée. Le pronotum est subcylindrique régulièrement arrondi latéralement, à ponctuation dense et rugueuse. Les élytres subparallèles arborent une coloration brune avec des taches jaune pâle irrégulières, aux épaules, dans la partie médiane et à l'apex. Les antennes sont frangées de longues soies. Les pattes sont courtes et robustes, à fémurs claviformes.
Détermination (1) : Simple.
Espèces proches : Confusion possible avec Lucasianus levaillanti dont G. minuta se distingue par sa petite taille, son pronotum sans tubercules latéraux distincts et le troisième et quatrième articles antennaires subégaux.
Ressources pour l'identification : (7),(3)

 

Ciblage des prospections

Où rechercher l'espèce en priorité en îdF (localisation) : Espèce très localisée et population isolées et discrètes. Recherche ciblée difficile.
Quelles méthodes utiliser : Battage des branches et branchettes mortes, cage d’émergence, piège d’interception.

  • (1) : Touroult J., Cima Valentina., Bouyon H., Hanot C., Horellou A. & Brustel H., 2019. – Longicornes de France – Atlas préliminaire.
  • (2) : MNHN & OFB [Ed]. 2003-2025. Inventaire national du patrimoine naturel (INPN), Site web : https://inpn.mnhn.fr Le 18 juillet 2025
  • (3) : Berger P., 2012 Coléoptères Cerambycidae de la faune de France continentale et de Corse - Actualisation de l'ouvrage d'André Villiers, 1978. Revue de l'Association Roussillonnaise d'Entomologie, supplément tome XXI, 664 p.
  • (5) : Mériguet B. & Zagatti P., 2016 - Coléoptères du Bassin parisien - Guide d’identification de terrain. Delachaux et Niestlé Editeurs - Paris 288p.
  • (7) : MÉRIGUET B.& Speckens V. 2024 – Longicornes d’Île-de-France – Aide à l’identification. V1.43 – version juin 2025, Opie, 60 pages.

Période d'observation : L'adulte est actif d'avril à août.

Biologie-éthologie : L'adulte est crépusculaire et nocturne. Les larves, très polyphages, se développent dans les branchettes et brindilles sèches de nombreuses essences feuillues (chêne, châtaignier, bouleau, saule, érable, noyer, figuier, pommier, poirier, mûrier, caroubier, aubépine, mimosa, fusain, bourdaine, noisetier, ronce, rosier…), mais également sur résineux (cèdre et Pin d'Alep) formant des galeries tortueuses sous l'écorce et dans le bois. Le cycle de développement dure un an.

Écologie : Son habitat est constitué de forêts et vergers thermophiles.

Biogéographie : Espèce à large répartition ouest-paléarctique. En France, elle se rencontre dans une grande partie ouest et sud du territoire. 

Non renseigné pour le moment
Saperda minuta Fabricius, 1781

Observations mensuelles