Lamie boulanger

Monochamus galloprovincialis (Olivier, 1795)

Classe : Insecta Ordre : Coleoptera Famille : Cerambycidae Sous-Famille : Lamiinae Tribu : Monochamini Genre : Monochamus
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  • 55
    observations

  • 19
    communes

  • 28
    observateurs

  • Première observation
    1944

  • Dernière observation
    2025
Boivin Solen - Casset Lionel - Clouzeau Grégoire - Colas Guy - Douault Guillaume - Flores Vladimir - Fongond Henri - Fougère Benjamin - Horellou Arnaud - Inconnu Inconnu - Jarrige Jean - Joyopitz - Kimoya Sandy - Krol Adam - Lagarde Claude - Larregle Guillaume - Lepilleur Théo - Maratrat Julie - Mari Alexandre - Mark Lucas - Monsavoir Alexia - Mériguet Bruno - Signol Audrey - Valenza Lucas - Vernier Daniel - Weil J. - Zagatti Pierre - Zucca Maxime
  • Opie (Office pour les insectes et leur environnement)
    Participation à 44 Observations
    Part d'aide à la prospection : 80.00 %

    Fiche organisme

  • ANVL (Association des Naturalistes de la Vallée du Loing et du massif de Fontainebleau)
    Participation à 2 Observations
    Part d'aide à la prospection : 3.64 %

    Fiche organisme

  • ARB îdF (Agence régionale de la biodiversité en Île-de-France)
    Participation à 1 Observations
    Part d'aide à la prospection : 1.82 %

    Fiche organisme

  • DRIEAT Île-de-France (anciennement DRIEE)
    Participation à 1 Observations
    Part d'aide à la prospection : 1.82 %

    Fiche organisme

Informations espèce

Commentaires sur l'espèce

Taille : 12 – 26 mm.
Diagnose : Capricorne au corps de coloration brun noir ou rougeâtre, recouvert de pubescence blanc jaunâtre ou grisâtre, disposée en taches irrégulières. Pronotum convexe à protubérances latérales développées et aiguës. Antennes longues, en général rougeâtre. Élytres longs, parallèles, arrondis à l'apex, ornés de deux ou trois bandes transversales grises, entre lesquelles on distingue des taches de pubescence ocre doré.
Détermination (1) : Délicate à l'échelle nationale (1) mais à priori très simple à l'échelle régionale (5).
Espèces proches : Elle se distingue des autres Monochamus, à priori absents d'Île-de-France (M. sartor signalé une fois), par un scutellum couvert de pubescence rousse, à l'exception d'une petite aire basale dénudée, ses antennes rougeâtres et ses élytres sans dépression basale.
Ressources pour l'identification : (7),(3),(5)

 

Ciblage des prospections

Où rechercher l'espèce en priorité en îdF (localisation) : Historiquement mentionnée d’une large moitié sud de l’Île-de-France, l’espèce est localisée dans la région de Fontainebleau et sous forme de petites populations en Essonne et Yvelines. À rechercher dans les peuplement de résineux.
Quelles méthodes utiliser : Battage et écorçage, pièges d’interception et phéromones.

  • (1) : Touroult J., Cima Valentina., Bouyon H., Hanot C., Horellou A. & Brustel H., 2019. – Longicornes de France – Atlas préliminaire.
  • (2) : MNHN & OFB [Ed]. 2003-2025. Inventaire national du patrimoine naturel (INPN), Site web : https://inpn.mnhn.fr Le 18 juillet 2025
  • (3) : Berger P., 2012 Coléoptères Cerambycidae de la faune de France continentale et de Corse - Actualisation de l'ouvrage d'André Villiers, 1978. Revue de l'Association Roussillonnaise d'Entomologie, supplément tome XXI, 664 p.
  • (5) : Mériguet B. & Zagatti P., 2016 - Coléoptères du Bassin parisien - Guide d’identification de terrain. Delachaux et Niestlé Editeurs - Paris 288p.
  • (7) : MÉRIGUET B.& Speckens V. 2024 – Longicornes d’Île-de-France – Aide à l’identification. V1.43 – version juin 2025, Opie, 60 pages.

Période d'observation : Les adultes sont actifs de mai à septembre.

Biologie-éthologie : La larve se développe dans les branches ou les troncs fraichement mort au sol de conifères, surtout des pins. Le cycle biologique dure un an, parfois deux.

Écologie : En France, elle est largement répandue y compris dans les plantations de pins. A l’international elle est le vecteur du nématode du pin Bursaphelenchus xylophilus qui est un parasite particulièrement efficace, responsable de graves dépérissements dans les forêts de pin.

Biogéographie : Espèce à large répartition ouest-paléarctique.

Non renseigné pour le moment
Cerambyx galloprovincialis Olivier, 1800 |

Observations mensuelles